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Qu'est ce qu'une femme misandriste

Bonjour à tous et à toute je vous partage aujourd'hui un article sur la misandrie des femmes. Ce type de femme sont des hater d'homme ( femme violente) des anti-féministe qui croit que tout les homme sont pareille. Elle n'ont pas de discenement objectif par rapport aux homme. Elles n'ont pas conscience que il y en a des correct. Prendre note que mon entreprise et ma carrière artistique respecte légalité entre les sexe. Et que la clientèle est unisexe. Les femmes misandriste ne sont pas toléré sur mes plateforme web artistique payante et gratuite. Et les femmes jalouse de moi en tant que femme non plus.



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Un tag à Grenoble où on lit « Misandrie ».

La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des femmes).

Étymologie

Le terme « misanthropie » vient du mot grec de même sens « misanthrôpia », formé avec le mot grec « anthrôpos », qui signifie « homme » au sens d'être humain. Les auteurs du néologisme « misandrie » ont formé ce terme avec le radical (ἀνδρ-) du mot grec signifiant « être humain masculin ».

Le dictionnaire d'Oxford situe la naissance du néologisme vers la fin du xixe siècle1. Toutefois, pour certains auteurs, « misandry » ne serait apparu dans les suppléments de l'Oxford English Dictionary qu'à la fin du xxe siècle2. En 1909, le Century Dictionary (publié à New York) publie dans un supplément consacré au nouveau vocabulaire la définition suivante : « Misandrie : la haine de l'homme, mauvaise opinion de l'homme, considéré comme injuste et oppresseur envers les femmes »3. En France, le Grand Robert en situe l'apparition vers 1970. Il remplace dans ce dictionnaire à cette date le mot androphobie, qui était jusqu'alors utilisé4,5. Pour certains auteurs, ce dernier terme définit désormais la peur des hommes en tant que phobie morbide et non plus le mépris du genre masculin en tant qu'attitude sexiste6.

Études du concept[modifier | modifier le code]

D'après David D. Gilmore7, le terme de « misandrie » serait un équivalent de « misogynie » pour définir la haine des hommes, mais il serait utilisé trop peu couramment pour en être le parfait lemme. Il lui préfère le néologisme « viriphobia » (néologisme hybride, mêlant le mot latin vir et le grec phobos), que Gilmore a lui-même inventé en 19977, et qui selon lui serait plus à même d'englober à la fois la haine et la peur de la masculinité hétérosexuelle, telles qu'exposées dans les ouvrages d'Andrea Dworkin, militante féministe radicale, ou des universitaires spécialisés sur les études de genre comme Raewyn Connell ou Miguel Vale de Almeida (en). Les idées d'Andrea Dworkin ont été également qualifiées d'« anti-mâle »8, notamment par la journaliste conservatrice et libertarienne9 Cathy Young.

Selon Francis Dupuis-Déri, le mot est utilisé dans la rhétorique de la « crise de la masculinité », discours « porteur d’une critique du féminisme et d’un refus de l’égalité entre les sexes. Ce discours sert aussi à justifier la (ré)affirmation d’une masculinité conventionnelle »10.

Les écrits de Nathanson et Young (une trilogie sur le thème de la misandrie11 écrite par deux professeurs de sciences des religions de l'université McGill12) expriment au contraire l'idée que la misandrie est le produit direct de la volonté de privilégier le point de vue féminin13. Cela engendrerait une baisse des interactions entre hommes et femmes dans le domaine social, ce qui deviendrait la norme14. Certains s'appuient sur ces écrits pour affirmer qu'à la fin du xxe siècle, la société s'est transformée, et est devenue misandre15, notamment dans le domaine de la publicité et du cinéma/télévision16. En conséquence, la vision des femmes en tant que victimes de violences sexuelles (notamment au cinéma) serait plus misandre que misogyne17. Ces écrits ont également influencé une relecture du rôle joué par les hommes dans la fiction18.

Le sociologue australien Michael Flood (en) a toutefois minimisé le point de vue de Nathanson et Young, en affirmant que la misandrie ne pouvait pas être équivalente à la misogynie, selon lui, en raison de l'absence notamment du cadre historique, législatif ou institutionnel de ce dernier19. C'est également ce que souligne Gilmore : l'absence de réification justifie l'absence de terme unique définissant le concept7. De son côté, Anthony Synnott, professeur de sociologie qui se consacre à l'étude de la masculinité au xxie siècle, définit le terme en fonction de plusieurs notions, notamment l'histoire et la loi. Pointant la trop grande invisibilité de cette notion, alors que les comportements associés sont culturellement acceptés, voire normalisés, il estime que la misogynie engendre la misandrie20. Il qualifie d'ailleurs les travaux de Nathanson et Young sur ce sujet de « majeurs »20.

Spécificités

Opposition au féminisme

Article détaillé : Antiféminisme.

La « haine des hommes » a été souvent invoquée comme moteur par les intellectuels critiques de certaines formes du féminisme. Certains[Qui ?] postulent que les féministes des années 1950 et 1960, rejetant la domination masculine de leur société, étaient regardées comme haïssant les hommes par ceux qui s'opposaient ou critiquaient leurs idées21. Toutefois, aucun terme précis n'était utilisé pour définir cette prétendue haine ; les femmes ainsi accusées se retrouvaient donc, tout au plus, qualifiées de man-haters dans les pays anglophones21,22. Mais, à la fin du xxe siècle, le SCUM Manifesto de Valerie Solanas, est qualifié en 1989 de « misandrie éhontée » (unabashed misandry)23 ; l'écrivain Robert Merle, dans son roman dystopique Les Hommes protégés, y fait référence en présentant sous cette appellation des féministes radicales misandres24. D'après Colette Pipon, prix Mnémosyne 2012, si le féminisme comporte une dimension misandre, celle-ci se limite aux mots ; elle n'est pas « constitutive du féminisme en tant qu'idéologie » car le féminisme n'est pas, selon elle, basé sur la haine de l'autre25,26.

L'idée de « revanche » envers les hommes est également un risque de dérive, qualifiée de misandre, du combat féministe27, risque relevé notamment par Élisabeth Badinter28. Diverses études de genre, consacrées à la littérature antique grecque29, au judaïsme30 ou à la psychanalyse31 font usage de ce terme depuis lors.

Au xxie siècle, dans le monde anglophone, le terme « misandry » est dénoncé par certains milieux intellectuels, universitaires et/ou activistes, comme un moyen abusif qui permet de discréditer le point de vue féminin lors d'affaires traitant de l'égalité des sexes32 ; en 2013, la majorité des auteurs anglophones qui utilisent ce terme sont des hommes22. En revanche, la présidente de Ni putes ni soumises, Asma Guenifi, a estimé en 2013 que le discours de l'organisation Femen reposait sur la misandrie33, et d'autres s'inquiètent du fait que certains courants du féminisme, tout en cherchant à combattre le sexisme et les stéréotypes, puissent contribuer à en créer de nouvelles formes16. Toujours au xxie siècle, une forme de « misandrie ironique » voit le jour dans les milieux féministes américains, afin de tourner en dérision les accusations de misandrie et cibler le discours anti-féministe34. Toutefois l'essayiste américaine Cathy Young note que la « misandrie ironique » défendue par certaines féministes deviendrait parfois de la misandrie tout court35.

Autres mentions[modifier | modifier le code]

En 1960, l'écrivain Barrington Kaye rapporte ce qu'il nomme « une tradition de misandrie » dans le Guandong : les paysannes, fiancées jeunes et employées dans l'industrie de la sériculture, s'opposeraient au mariage et à la vie conjugale, préférant l'indépendance que leur donne leur travail36. Cette particularité locale est relevée à nouveau par Marjorie Topley en 1978, dans ses articles sur la société cantonaise, sans toutefois qu'elle n'assimile cette résistance au mariage à de la misandrie37.

Dans un autre ordre d'idée, une étude faite en Irlande et aux États-Unis sur les hommes infirmiers a également fait ressortir notamment des attitudes misandres de la part de leurs formateurs38.

Ce thème, tout comme la misogynie, est parfois repris dans la littérature de fiction39, par le cinéma40 ou la télévision41. Un exemple récent (2020) en a été donné par Pauline Harmange dans Moi les hommes, je les déteste42.


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